Répondre à: Nymph()maniac, feministe ?
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Oui crever le cinema ou parler d’analyser un film sans meme voir le scenario est un trolle.
Traiter un anar de zemmourien aussi.
Meg:
Dsl d’amalgamer, je refuse par principe de quotter en gras (c’est borné et sans doute con) et j’avais à repondre à beaucoup de monde. Trier est peu compris dans le coin. Démocratiquement parlant ca me donne tord, mais je me méfie des effets de mode (jurisprudence Desplechin, que j’ai encore entendu il y a peu sur France Culture tenir des propos feministes tres pertinants et que j’ai faillit citer sous l’article de « sous la juppe des filles » si je n’avais pas peur d’etre caricaturer a nouveau)
Pas faute de repondre a quelqu’un qui lance des forum interressants et se retrouve avec des fils pourris sinon moi je regarde ca, mais je ne me fais pas avoir c’est un peu reac quand meme. J’aurais bien proposer des films féministes (comme homo ou trans), mais si je peux proposé des héroines de films politiquement sains, j’avoue que qu’en films feministes je galere un peu (et j’aborre les tentatives genre dysnée ou sous la juppe des filles qui transpirent la soumission au girlisme et transforme les clichés en des clichés politiquement plus dificile a combatre car plus politiquements corrects au sens directeur de com). Puis ca manque severt de realisatrice. J’ai les memes difficultés avec le spécisme (que je maitrise peu, voir meprise un peu, malgres des amis convertis), mais vos fils de forum complete ma culture.
Je n’avais pas la moindre idée de la violence infligée aux acteurs et actrices sur les film de Lars Van Trier (merde ni des autres films et reals, il y en a des bien, fais chier). Je ferais bien une ouverture sur mais c’est dur les tournage, gnagna, mais si les faits sont là… egnre mon patron est un connard a cause de ses responsabilité? Bref je ne savait pas. Bon le but c’est pas d’inviter Trier à mes soirée non plus.
Puis je concidere le personnage de l’intellectuel de Dogville comme une autocritique de la demarche du réalisateur assez marquée et d’une violence assez rare au cinema.
J’avais souvenir d’un refus du script de Manderlay car trop tendancieux par Kidman. De meme pour Wasington, l’hypothetique cloture de la trilogie (Sans doute à cause de la puissance des lobbys noire et feministe à hollywood cet heros du combat contre la pensée reactionnaire).
Les negre 7 existent dans Manderlay. Il y a un homme et une femme (noir(e)s) meme si Grace lit le 7 de l’homme pour un 1, qu’elle concidere comme plus valorisant. Il est a noter que les dominé classés 1 par le code en place sont les plus a meme de maintenir le systeme et que les 7 annule toute tentative de vraies revolte à cause de leur ego.
Dogville et Manderlay ne s’annulent pas dans mon esprit. C’est un trilogie a la base. Certes Grace passe de victime à boureau ( et je pense que « la machine » « l’avidité » ou « la société » aurait eu le dernier mot dans Washington) mais c’est surtout un refus d’essentialiser les heros et une critique supplementaire de l’idéalisme de Grace qui n’apprend rien de son passage à Dogville et préfère faire « table rase » (et fausse commune).
Je ne maitrise pas pour un sous la dialectique hegelienne. Pour le coup Hegel est un idealiste crasse pour le peu que j’en sache et un réact patenté (la fin de l’histoire, c’est nous). Je ne crois pas qu’ils soient dans les grands hommes pour Trier, mais c’est sans doute du à mon manque de culture.
Ce qui cloture le film reste le travail photographique de (mettez le nom adequat) et un cliché d’un eboueur (employé de surface) noir en bleu de travail nettoyant la statue impossante d’un homme blanc en costume cravate d’avocat (Lincoln).
Quand la seule solution pour ne pas manger des galettes de boue est d’avoir une femme blanche qui me ramene l’argent de par sa qualité de femme blanche dans un monde de dominant blancs devasté par la perte d’infrastructure et le maintien de mes concitoyens dans l’ignorance… J’appellerai sans doute Grace, l’armée US le FMI… à la rescousse.
Il y aussi une forme de racisme dans la figure du bon sauvage qui refuse de voir de l’alienation dans les societes traditionnelle africaine ou tibetenne (sans nier l’entreprise faciste de la colonisation et de la traite europeenne). Pensée que les dominés plébicitent le conservatisme par péché d’esprit etroit et insultant et contreproducteur. Refuser de le voir une idéalisation dangereuse.
Mon mouvement est crépi d’antifa pret à utilisé des actes fachistes (ratonner les militants d’en face, espionner leurs mails, diviser la société en camps…) pour sauver Anne Frank. Difficile de leur donner tord. Sauf qu’historiquement les bandes armées s’arment prenne gout à la violence, les fachos s’organisent, se croient tout permis, ratonne aussi homos, arabes et noirs quand les antifa sont absent et le jours ou une revolte sociale pousse (genre crise economique, avancée ideologique) les riches financent ses bandes organisés facho reac et on se retrouve avec des prolettaire censés etre allié dans les phallanges et les SA alors que nous on ne peut pas s’armé d’autre chose que de chaines de velo.
De meme en appliquent betement son ideologie Grace ruine les infrastructures, montent les esclaves entre eux par une application non ecadrée par une constitution reflechie de la democratie, abreuve le monde de son paternalisme.. et se retrouve coincée par la société dominante car elle est la seule autorité reconnu par le joueur de carte (qui représente un mix entre la finance et la société du spectacle).
Dans ma vision du film c’est la misere, le manque d’auto organistion, d’education, le pillage, la destabilisation de la societe sans alternative qui mene au retour de l’escalvage.
Je promet de revoir le film apres avoir essayer de piger La dialectique hegellienne (au moins sur wikipedia).
Mais vous avouez vous meme que le film est bon avant sa conclusion (tiens les femmes aussi ou des pulsions physique soutenus par des clichés comme les hommes, le sexualité n’est pas une chose fragile et ettérée necessitant un homme pour le leur revellé par exemple aussi).
D’accord aussi sur le coté toc et grandilocquent du dispositif et du scenar par chapitre, ma la reflection est presente (sauf si on se butte par une haine a priori du realisateur).
Pas sur encore pour autant que la fin annule et retourne le film en une pochade react prechant que l’esclavage est la faute des noirs et ne concernent qu’eux, meme pour une hegelienne.
Mais je ferai attention à vos arguments à ma prochaine lecture.
Bonne continuation.
Cordialement.
P.S:
« Ca me donne envie d’ouvrir une nouvelle discussion sur cette idée de « génie artistique » et de trou-du-culisme pervers-narcissiques, il y a je pense beaucoup à dire. »
J’attend le resultat avec impatience. (je pense que l’intellectuel de Dogville est un bonne exemple… et merci de ne pas trop me citer, j’ai une estime de moi fragile)